Les périodes de grand chaud

Zaïna

Zaïna était dans le pré, rejoins pas Hélios. Mais un palefreniers arrive pour séparer les deux chevaux. Pourquoi ? Oh, c'est simple, parce que Mademoiselle allait bientôt avoir ses chaleurs et ils ne voulaient pas avoir un poulain dans le ranch... Zaïna était énerver dans son paddock, une journée et une nuit s'était écouler et le lendemain, s'était bien sa période qui commençait ... Les chaleurs. Elle trottait allongé, la queue en panache et hennissait. Elle fessait sa belle. Hélios était lui dans le parc d'a côté. On l'avait séparer de lui et elle supporter pas ça ! Elle trottait et galoper par moment. La tête bien haute et hénissait, on entendez que elle dans le ranch. Comment ne pas la raté ... Certain étalon l'avait répondu.

Hélios

Enfermé dans le pré d'à coté. Je broyais du noir. Faisant les 100 pas devant la clôture. Mes naseaux vrombissaient, laissant sortir de la vapeur par se temps hivernale. Je courbais l'encolure et grattais le sol avec nervosité. A vrai dire, j'étais assez excité, ce n'était pas la seule jument du centre en chaleur, et il y avait beaucoup trop d'hormones dans l'air. Je me pavanais, le nez en l'air et la queue en panache en bombant le torse. Je faisais presque un galop sur place et lançant de petits hennissements excités et rageurs. Je faisais tout pour capter son attention, relevant un sourcil de temps à autres et en portant haut ma tête, l'encolure droite. J'aurais aimé suter la barrière et la rejoindre mais ils avaient mis des crans de sécurité et ré-hausser la barrière, je ne pouvais pas sauter aussi haut. Même si l'amour donnait des ailes (comme redbull ) je crois que je ne serais jamais capable d'un tel exploit....quoi que..

Zaïna

J'était énervé et toute excité aussi... Hélios lui, faisait tout pour capter mon attention et il réussi très bien son petit jeu. J'était collé a la barrière et faisait les 100 pas, ou plutôt de trot. Je me cabre un peu et hennis. La tête haute et la queue en panache. Ils avaient lever la barrière plus haut ... Et sa m'énerve, c'est à peine si j'arrive a passer ma tête par dessus. Il faudrait un exploit ou une chance incroyable pour arriver à sauté cette barrière. Je hennit après Hélios pour répondre a son appel. Je donne des coups d'antérieur, mais rien a faire ....

- Oh, je les déteste de l'avoir fait plus haut !

Hélios

Fougueux, je ne cesse de rejeter ma tête en arrière en faisant des levades. Tempeteux, je levais mes membres vers le ciel, j'hérissais ma crinière. Je donne un coup de sabot énervé dans la barrière qui se fissure un peu, je passe mon museau entre deux barreaux cassés et lui renifle l'encolure en poussant de petits hennissements stridents.
- Moi aussi je les détestes !

Zaïna

Les palfreniers nous observer de loin... Enfin, ils nous surveiller surtout... Mais je ne cesse de m'acharner sur la barrière en me cabrant et donne des coups de sabot. Elle va bien finir par céder un moment ou un autre... Si on tape fort dedans. Les palefreniers discutait entre eux en nous fixant et j'aimait pas cela...

- Elle va bien finir par céder cette barrière...

Je continu a m'acharner dessus. Par moment, fessant du petit trot en la longeant, la tête bien haute, et hénnissent pour appelez Hélios. Je commencait a croire qu'il n'arriverai pas à me rejoindre ou moi de même ...

Hélios

Rien à faire, cette barrière ne lâchera pas sous la force. Que faire ? La contourner ? Non impossible, le pré est entouré de barrières. Il reste 2 solution, passer en dessous ou au dessus. Passer en dessous n'est pas une possibilité envisageable car je ne suis pas un fox terrier, je ne creuse pas de trous ( xD ) Il ne reste qu'une seule solution, passer au dessus. Mais c'était si haut... Je savais que la pendant les compétitions j'avais franchis des obstacles de 1m80 mais là 2 m ! c'est énorme. Mais il faut quand même essayer. Je part au petit galop au fond du pré pour m'échauffer. Une fois au fond, je me stoppe et respire longement. Puis je détale au grand galop, en prenant impulsion sur mes postérieurs pour gagner le la vitesse. Je regardais le sommet de la clôture mais soudain, une part d'appréhension me prit, et si je m'écroulais dans la barrière ? Je freine sur mes 4 fers et parvient à m'arrêter juste avant la barrière. La cognant un peu à la reception. Je grognais, mécontent de m'être dérobé. J'entendais les hennissements de Zaina derrière le mur. Quand soudain, des voix humaines tintèrent à mes oreilles :

- Pff.. il a peur, il ne sautera jamais cette barrière.

- C'est trop haut, seul un cheval de haute compétition peut réussir un tels exploit.

- Nous avons bien fait de poser un mur ici, il ne risquera pas de le saurter celui là !

S'en suivirent de petits ricanements méprisants. Je bouillais intérieurement, si j'avais pu leur arracher le museau, je l'aurais fait !

Zaïna.

Je trot en long et en large. Fessant ma belle et hénnis fort. Ma queue en panache. Mes oreilles droites et ma tête haute. Je me fessait gracieuse dans mon trot et mon galop. Je vais à la porte du parc et tape dedans. Des palefreniers se moquait de Hélios et je ne supporter pas ça. Je hennis contre eux. Un arrive avec une cravache et voulut me frapper :

- Tu va te taire oui ! On aurait du te mettre dans un box bien fermer ! Si y'avait pas cette foutu demande

Et oui, je m'en fiche, je sera infernal pendante toute ma période. Il fallait pas me séparer de Hélios. Hélios avait tenté de franchir, mais s'était dérobée devant. Je le comprend, c'était vraiment haut. Mais j'y pense ... C'était bizarre quand même qu'ils me mettaient dans un parc au lieux d'un box pendant ma période... Ils allaient quand même pas me faire saillir par un autre étalon ? Alors là ! Je lui botterai les fesses sans me retenir ! Mais j'espère juste que je me trompe.

Hélios

Entendre les hommes se moquer de moi me faisait gronder de rage. Je devenais impulsif en poussant de grand hennissements rageurs. Je gratte le sol férocement. Ils allaient voir ! Je repart au trot au fond du pré, les yeux noirs. Comblé de colère, je m'élance comme un fou vers la barrière. Soudain, saisis par la même appréhension que la précédente, je vacillais et faisait du droite-gauche, cherchant une issue. Soudain un rire méprisant brisa le silence :
- Ahaha ! Regardez sa posture ! Il va encore se dérober ce bougre !
- ça alors, c'est un canasson, vraiment idiot !
J'étais furax ! Non ! J'allais leurs prouvés que je pouvais le faire.

[Est-ce que Hélios peut allez dans ton pré ou tu as prévu quelque chose d'autre ?]

Zaïna

Je trottait et hennissait. Je voyait Hélios faire une nouvelle tentative, je me cabre et hennis fort pour l'encourager. Je suis sûr qu'il va réussir. Il est très bon en saut !

[ Oui, il peut ^^ ]

Hélios

Mes sabots martelaient le sol humidifié par la rosée du matin. Un calme angoissant régnait dans l'atmosphère, comme si le monde c'était arrêter. Tout le monde retenait son souffle. Je devais avoir confiance en moi pour réussir cette fois. Je le devais, je pouvais le faire ! Après tout, mon père était le premier étalon a avoir remporter 3 année de suite la coupe internationale de jumping et mon grand père qui avait lui même participé aux jeux olympiques ! S'ils avaient pût le faire, alors je le pouvais aussi. C'était dans mes gênes. Je ferme les yeux quelques secondes pour retrouver mes esprits et me concentrer. Devant l'obstacle, je calcule mes foulées et ralenti, un saut raté serait fatal car une mauvaise chute pouvait détruire ma carrière de saut à tout jamais. Je plie mes postérieurs et relèves mes antérieurs. Dans un bond magistrale, ma crinière se soulève au dessus de moi, je me replie sur moi même pour prendre de la hauteur, bondissant vers le ciel. Je me sentais me pousser des ailes. La barrière frôla mon ventre de si près que le contact fébrile avec l'écorce me procura un léger frisson. En une fraction de seconde, mes antérieurs se déposaient gracieusement sur la terre. Mes épaules partirent en avant, se qui me permis de ne pas perdre l'équilibre. Je fît quelques foulées de galop pour me ré-équilibrer puis fît demi-tour au petit trot vers Zaina. L'encolure haute dressée, queue en panache, je faisais mon beau. Lorsque nos naseaux se touchent, cela fait l'effet d'un éclair, un vrai coup de foudre. J'enfouis dans son regard ambré, des yeux amoureux remplis d'affection.

Zaïna

J'en rester stupéfaite. Le souffle coupée en le voyant foncé sur la barrière et sauté majesteusement. On aurait dit qu'il volait. Les palefrenier n'en revenait toujours pas. Il atterie dans mon parc et nous nous rejoingnons. Nos naseaux se touche. Il me fit un regard affectueux et amoureux. Je lui répondit par un regard séducteur et amoureuse. Allant lui mordre doucement le toupet et trotter autour de lui, ma queue ne panache. Heureuse qu'il ai réussi à me rejoindres. Les palefreniers était vite partis chercher de l'aide pour séparer le jeune couple. Mais Zaîna ne compte pas se laisser faire par eux. Elle passe sa tête sous l'encolure d'Hélios.

Hélios

Je reste quelques instants sans bouger puis commence à trotter en rond autour de Zaina en paradant. Dévoilant toute ma musculature, je relève haut la tête, les oreilles pointées en avant dans sa direction, les naseaux dilatés. Je met ma queue en panache et me déplace avec des allures gracieuses, presque aériennes, je relève un sourcil et la regarde avec séduction.

Zaïna

Je le regarde et me laisse séduire par ses belles allures et sa musculature. Je le suit du regard puis le suivit au trot, je fit quelques ruades puis m'arrête. Ma queue ne panache et la tête haute. J'était prête. Je gratte le sol avec mon antérieur et hénnis. Je surveiller l'arriver des palefreniers, je ne voulait pas être séparer d'Hélios pour rien au monde ! Je l'est chasserais !

Hélios

Je m'approche doucement de ma princesse et lui gratouille l'encolure tendrement, puis passe au niveau de son garrot, pour finalement lui gratter le haut du ventre.

Zaïna

Je me laisse faire par Hélios et lui gratouille son encolure un peu. Quelque frissons parcoure mon corps quand il me mordille le garrot et haut du ventre. Je secoue un peu ma tête et gratte le sol. Je mordille son encolure amoureusement

Hélios

Je lui gratte le ventre, en passant par le dos, doucement, puis la croupe. Je surveille ses réactions mais cela ne semble pas la gêner. Je lui fait une sorte de massage pour qu'elle soit parfaitement détendue et petit à petit je me place derrière elle.

Zaïna

Mes oreilles à l'affut du bruit. Je surveiller et craignez l'arriver des palefreniers. Mais je ne me concentre que sur Hélios, son petit massage me fit un grand bien et me détendit. Je tourne légèrement la tête et le voit derrière moi. Ma queue ne panache et je flanche un peu des postérieurs. Les palefreniers semble avoir décider de laisser passer et d'abandonne... Tant mieux !

Hélios

J'attends quelques secondes puis la saillie. Quelques secondes plus tard, je lui gratte l'encolure une nouvelle fois avec encore plus d'amour et d'affection. Je lui léchouille le museau et lui murmure à l'oreille.
- Je t'aime...
Puis enfouis ma tête dans ses crins noirs.

Zaîna

Je me laisse me faire saillir par Hélios. Puis, je répondit a sa gratouille a mon encolure en lui fessant la même chose. Je passe mon encolure sous la sienne pour me blottir contre lui :

- Je t'aime aussi.

Je reste contre lui et ne voulut en aucun cas être séparer.

Hélios

Je me serre un peu plus fort contre elle, quand soudain j'entends des palefreniers :

- Punaise ! Je t'avais dit qu'il pouvait la sauter cette fichue barrière !
- Mais non tout à l'heure tu disais que..
- Tais toi crétin ! Et va plutôt appeler le propriétaire de l'étalon pour dire que cet annuler, il va être furieux !
Le palefrenier balance rageusement sa casquette par terre. Puis me regarde d'un air méchant.
- Sale bête..
Il ne fait rien mais je reste sur mes gardes. Quand soudain il s'exclame :
- Ooh et puis non en faites, ce n'est peut-être pas trop tard. Je pense que le vétérinaire pour régler ce léger problème et on l’emmène à la clinique immédiatement.
Il s'approche avec un licol, dans le but de nous séparer une nouvelle fois. Cette fois ci pas question. Ja rabat les oreilles et me montre extremement menaçant. J'agite follement la tête de haut en bas et lorsqu'il s'approche, j'envoi un postérieur dans le vide tout près de son genou. Il ne touchera pas à ma princesse !

Zaïna

Je rester contre Hélios et mes oreilles gigotter au cris des palefreniers. Je regard en leurs directions. Ils s'approchent de nous ... Je n'aime pas du tous cela... Ils voulut me mettre un licol, mais Hélios me protège. Heureusement qu'il était là. Qu'est-ce qu'il nous voulaient ? Je recule un peu et rabattu mes oreilles en arrière.

- Hélios ! Qu'est-ce qu'ils veulent ?

Plusieurs palefreniers arrivent et me fit fuir en agitant des cravaches ou des licols. Je partis au galop pour m'échapper d'eux et ils me suivent en courant. Ils étaient partout. Je me retrouve bloquer dans le coin du paddock. Je me cabre et bottes. Ils utilisent des lasso pour m'immobilisé, mais je compte pas me laisser faire. Je me déchaîne et les tirent pour essayer de m'enfuir, même si je l'est traîner.

Hélios

Je m'élance furibond au milieu de tumultes et cordes. J'envoi mes postérieurs valser partout, devant, derrière, de tout les cotés. Une corde me prends au cou, je fais un saut de mouton pour que la personne lâche. J'ai beau tirer, je sent que l'écart entre Zaina et moi s'agrandit. Pris d'énervement, je me cabre et tape tout ce qui me retient. Les gens finissent par se laisser traîner derrière moi. Quand soudain, la voiture du vétérinaire arrive, celui-ci sort très vite, il prends un fusil dans sa mallette et me vise. Affolé, je me cabre, il tire et je tombe à terre, incapable de bouger. Bientôt je ne peux plus bouger, mes membres, je ne peux plus bouger ma tête, je sombre dans les vapes et m'endort sans avoir pût même résister.

Zaïna

J'avais beau me débattre comme un tigre. Les cordes m'entouraient de partout, autour du cou, a mon antérieur gauche et postérieur gauche. Ils étaient plus nombreux et arriver à ma maintenir. Je hennis pour appelez Hélios a l'aide quand je sursaute lorsque j'entend un tire et Hélios s’effondrer faiblement. Juste endormis... Mais j'était paniquer. Ils avaient amener un camion devant le parc et me tiré dedans. Ils me fit peur avec leurs cravaches et me crient pour me faire reculer. Je monte sans m'en rendre compte dans le camions. Ils me mettient toujours et rentre à l'intérieur. Ils ferment la grande porte et se fut plus sombre. Ils lâchent les cordes et sorte par une porte plus petite où je ne pourrait pas passer. Je panique et donne des coups de sabot dans les parois du camions, hennis fort a travers les planches. Je voyait Hélios. J'était en larme, désespérer. Qu'est-ce qu'ils allaient me faire. Le camion démarre et m'amène je ne sait où ... Séparer d'Hélios... Une nouvelle fois. Ce fut mon tour d'être amené...

[Tu vas faire la suite où ?]

Hélios

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