Maya visite le clubhouse

Maya


Après avoir quitter la jument un peu étrange, je vois un grand bâtiment encore allumé. La porte est ouverte, et comme j'entend un bruit étrange à l'intérieur, j'ai l'affreuse envie de rentrer.
Je m'approche prudemment et passe ma tête près de la porte pour observer. Des humains faisaient la fête. Je dresse les oreilles, ils gesticulent dans tout les sens en parlant bizarrement. Ces hommes étaient complètement saoul, mai je ne le savais pas encore. J'entre doucement, mais le bruit de mes petits sabots sur le carrelage attire l'attention des hommes.

<< Oh regarder! Un bébé chevaaal !! >>

Cria un d'eux, ce qui me fit tressaillir de peur J'entendis la porte se fermer derrière moi ; Je me retourna, un homme me regardait bizarrement, avant de m'attraper par la crinière et de me tirer vers le groupe. Je poussais des hennissement effrayés, je donnais des coups de pieds dans le vide.
Il prirent un malin plaisir à me faire un licol, à me maquiller et m'habiller en clown avant de me faire danser. Certains même me donnaient des coups de pieds quand je n'obéissais pas. La cordes qui m'entouraient l'encolure m’étouffait, c'était horrible! Un d'eux approcha une lame de moi avec l'attention de me tailler les oreilles. Je pousse un hennissement de terreur, avant de me précipiter sous la table, la corde m'étranglant de plus belle.

Luka

J'arrivai d'un bon pas, pressée de découvrir mon nouveau chez-moi dans les moindre détails. Mais le visage de Raphaëlo ne quittait pas mes pensées. Il était vraiment mignon. Soudain, je vis quelque chose qui attira mon attention. Un peu plus loin gisait une photo du garçon blond. Comment était-il arrivée là? Aucune idée. Mais la vie apportait toute sorte d'opportunités. Je devais la saisir. Je ramassai l'image et la serra contre mon cœur. J'entrai dans le club house et découvris un tas d'hommes saouls et qui maltraitaient un pauvre poulain. Heureusement, j'étais préparée à ce genre de chose.

- Je suis votre déesse! Obéissez moi!

Tous se tournèrent vers moi et leur regard torve me fit penser qu'ils ne m'avaient peut être pas crue. Mais si, visiblement. Ils s'écrasèrent par terre et s'écrasant. Aussitôt, je les mis dehors à grands coups de coups de pieds dans le derrière. Je m'approchai du poulain et le rassurai.

- Chut, petit, ça va aller, ne t'en fais pas, ils sont partis.

J'entrepris d'enlever son costume grotesque et l'embrassai sur le chanfrein. Puis je m'en allai m'installer.

Maya


J'étais tellement terrorisé que quand l'humaine vint me retirer mon costume idiot, je ne me débattis pas. Elle partit ensuite, je la regarde faire, avant de me rendre compte qu'elle m'avait sauvé. Je n'attendis pas plus longtemps avant de sortir du club house en courant, avant de m'écraser par terre car j'allais trop vite pour mes petites gambettes. Je commençais à avoir sacrément faim, mais je ne savais plus comment sortir d'ici et retrouver maman. Seulement, dans un pré, je vis d'autres chevaux, peut être m'expliqueraient ils qui sont ces animaux à deux pattes?
Je détale vers les prés.