♦ Une bonne bouffée d'air frais ! | Libre.

Étoile

Alors comme ça l'humaine ne lui veut pas de mal?

Je commence a me sentir ridicule, je m'excuse et m'écarte.

[diplo si tu voulais ne pas interagir avec les personnages de ce rp tu pouvais en créer un nouveau dans les prés (comme quand tu as posté ta présentation en cliquant sur nouveau dans la catégorie des prés et non dans un rp déjà commencé)]

Emeline
Je suis très étonné en entendant le hennissement de la jument pie, j'en déduis que les soins ont du la soulager un peu. Je décide d'abord d'écarter l'autre cheval pour pouvoir m'occuper d'elle tranquillement. Je m'approche donc d'étoile *puisque c'est par ce nom que les gens du camion l'appelle*, décidée à attraper le licol qu'elle porte encore en espérant qu'elle se laisse faire.

Belle

Je sifflote et scrute les évènements avec curiosité.

Étoile

Je me moque intérieurement de moi même en pensant qu'il y a quelques secondes je méprisait la fille et me laisse attraper.

Emeline
-Là c'est bien ma belle !
Je la fais sortir la fuyarde du paddock et tend la longe au jeune homme qui arrive [Tym ou un des gars du camion comme tu veut diplo]
Puis je retourne m'occuper de la belle sauvage sans dire un mot. Je ne fais plus attention à ce qu'il se passe autour de moi ni à ce que font les hommes. Je ne saurais même pas dire si quelqu'un me parle. Tout ce qui compte à présent c'est ce que je peut faire pour l'aider. Je prends soin de ne jamais la regarder en face.
*Je ne suis pas un prédateur tu vois je ne te fixe pas...*
Je me baisse pour récupérer mon matériel de soin toujours en faisant des gestes lents et fluides. Je fais attention à ne pas faire bruisser les plastique protégeant la poche de glace et me relève. Je m'approche tout doucement d'elle d'un pas léger, attentive à sa moindre réaction. Tout en silence car je suis sure qu'elle m'a vue et que je ne vais pas la surprendre enfin du moins pas par ma simple présence.

Belle

Voyant le calme revenu dans la prairie je me calme de nouveau. La jeune fille s'approche très doucement, je pointe mes oreilles droites vers elle pour écouter tout ses déplacements. Je ne suis pas craintive mais extremement curieuse. Je me permet même d'avancer de quelques pas vers elle. Je fais tout de même attention et garde une distance de fuite.

Emeline
Je souris lorsqu'elle fait quelques pas dans ma direction. Je ne suis plus qu'à deux mètres. Je me décale alors pour me diriger vers son flanc plutôt que vers sa tête en me rappelant les consignes de mon "maitre", celui qui m'a fait découvrir l'équitation western et qui m'a réappris la confiance.
*Pour aborder un poulain ne tend pas la main vers sa tête il ne comprendrais pas ce que tu lui veut, gratouille lui plutôt le garot il saura alors que tes intentions son amicale.*
Je souris à cette pensée et réalise que je me comporte avec elle comme avec un poulain car elle n'a probablement jamais vu d'homme avant aujourd'hui et ne connait rien à notre monde.
Arrivée à hauteur de son épaule je monte doucement ma main et l'approche de son garot pour établir le contact, je suis de trois quart par rapport à sa tête de manière à pouvoir surveiller ses réactions tout en étant tourné vers sa croupe.

Belle

Je fremis lorsque sa main se pose sur mon garot mais ce sont des caresses, pas des coups. Je me détends et décontracte mes muscles, j'étais aussi à l'aise qu'une jument domestique, je m'épatais moi même. Je pivote et lui fait face de nouveau afin de l'observer de plus près. J'approche mon museau pour sentir sa veste. Puis penche l'encolure pour fouiller son sac.

Emeline
Mon coeur semble s’arrêter de battre quand mes doigts rencontre son poil doux. Elle se laisse faire calmement, je sens sous ma main que ses muscles se détendent. Je la laisse regarder ce que je fait et ce que je porte. Puis je commence à déplacer ma main vers son épaule et son encolure pour voir sa réaction. Je guette le moindre signe de nervosité ou d'agacement qui m'interdirai de continuer.

Belle

Attentive à tout ses mouvements je fais preuve d'une grande curiosité. Je l'observe de mes grand yeux clair et approche mon museau de sa main, je la sent, la renifle, elle à l'air douce comme le coton, je la touche du bout du nez, intrigué par ce monde dont je ne connais rien.

Emeline
Je profite de ce moment de calme mais je sais qu'il faut que je regarde comment va sa jambe. Je fais glisser ma main le long de son dos et commence à amorcer un mouvement vers la plaie. Il va falloir que je enlève le bandage pour voir comment ça va.

Belle

Immobile, je me laisse manipuler mais pourquoi passe t elle sa patte partout sur moi ?

Emeline
Je rapproche mon autre main pour détacher tout doucement le bandage. J'enlève ensuite la poche de glace qui est maintenant chaude. Je sors le désinfectant pour en remettre un peu. Sa jambe semble avoir dégonflé un peu.

[dis moi si ça te va que je considère que ça va un peu mieux ]

(Oui mais tu me garde encore quelques semaines, comme ça Wak à le temps de m'oublier x) )

Belle

Soucieuse, j'observe tout ses déplacements mais lorsqu'elle s'approche de ma jambe mes oreilles se rabbattent, non j'aime pas c'est douloureux ! Mais la jeune fille s'y prend avec douceur et je ne sent rien. Je reste cependant sur la défensive et remue un peu.

Emeline
Je lui parle doucement pour essayer de la rassurer et remets un bandage avec la poche de glace froide. Puis je la caresse. Je sors de ma poche un bout de carotte pour encourager sa bonne conduite et lui tends...

Belle

Intriguée par cette forme longue et orange je la renifle mais elle ne me donne pas plus d'appétit que cela. Depuis que je suis ici je n'ai pas manger et mes flancs se creusent un peu.

Emeline
La jument ne semble pas intéressée. Je casse la carotte en deux et en mange un bout en me disant que ça se tente pour la convaincre que c'est bon. Je jette un oeil aux alentours et constate qu'elle n'a pas touché au foin... ça ne m'étonne pas tellement mais j'aurais bien aimé qu'elle le mange d'elle même.

Belle

Je regarde la carotte, tend le museau, et mes naseaux effleurent les lèvres de la jeune fille. Je lèche la carotte mais me désinteresse vite. Je baisse l'encolure comme pour brouter mais reste immobile le nez au ras du sol.

Emeline
Qu'elle ne s'intéresse pas à la carotte n'est pas surprenant. Par contre son geste m'intrigue elle n'a pas l'air prête à se coucher où en train de renifler quelque chose...Mais je ne sais pas ce qu'il y a. Je décide d'attraper une grande poignée d'herbe qui pousse de l'autre côté de la clôture en espérant que ça lui plaira plus que la carotte. Je lui tends doucement en faisant attention à tenir mes doigts à l'écart de ses mâchoires.

Belle

J'observe l'humaine s'éloigner puis revenir avec de l'herbe fraiche. Je renifle vaguement mais détourne vite ma tête, ce n'était pas le gout de la nourriture qui me manquait... Surtout le gout de ma liberté !

[Vraiment désolé j'ai eu quelques problèmes avec la connection internet !]
Emeline
La jument ne semble pas intéressée par la nourriture. J'ai peur qu'elle n'ai pas mangé depuis qu'elle est là. Je passe ma main sur ses côtes et constate que j'avais deviné juste la jument à vraiment les côtes saillantes. Je ne sais pas trop ce que je peut faire pour ça. Je me dit que peut-être la mettre dans un pré plus grand avec de l'herbe plus appétissante. Mais je vais avoir besoin d'aide pour ça. Je vais déjà voir si ça va mieux tout seul. Je peut déjà mettre quelques gouttes d'huiles essentielles dans son eau qui l'aideront à ne pas trop déprimer. Je pars donc chercher celles ci. Et en profite pour récupérer une pomme, je connais très peu de chevaux qui n'aiment pas ça et les chevaux sauvages connaissent très souvent.

Belle

Je vois la jeune fille repartir de nouveau, par instinct et sans trop réfléchir je la suit. En troupeau, j'étais habituer à suivre le dominant, le protecteur. Je ne la considérais pas comme un dominant mais c'était la seule être qui me rassurais. Je la suit au pas en relevant la tête et scrutant les environs en développant ma belle encolure pie alezane qui brillait sous ce soleil d'été.

Emeline
Je souris quand elle me suit. Mais l’arrête à la porte, je ne peut pas prendre le risque qu'elle s'enfuit avec une blessure pareille. J'entrouvre la porte et laisse ouvert juste le temps de passer avant de refermer.

Belle

Dans les nuages, je regardais le ciel si bien que je ne regardais plus trop où j'allais. Mon poitrail heurta la barrière sans trop de force. Cela me remis les idées en place. Je ne comprends pas et hennis pour appeler l'humaine qui s'éloigne. Je gratte le sol en essayant de creusait un trou pour passer sous la barrière. A cet instant précis je ne mesurais pas encore l'ampleur de ma tache.